L'histoire de ma maison

Cette affiche se trouve sur un parcours de marche à Saint-Haon le Vieux sur le chemin de LA VIA SANCTI MARTINI, un itinéraire Est-Ouest de 2500 kilomètres qui va de Szombathely en Hongrie jusqu'à Tours en France. Pour rejoindre la France, depuis la Hongrie elle passe ainsi en Slovénie et en Italie. La traversée des Alpes permet d'atteindre Lyon. Alors aiguillé direction Tours par Montluçon, elle traverse le massif des Monts de la Madeleine, reliant ainsi Roanne à Vichy. Cette marche n'a pas forcément vocation à être un lieu de pèlerinage mais plutôt un lieu responsable et de partage.

Pour le Centre Culturel Européen Saint Martin de Tours, le porteur du projet, l'objectif de ce chemin est de faire émerger un écotourisme durable et responsable. Qu'il soit un lieu d'échange et de partage entre les passants et les locaux.

Pour cela, une bande verte et citoyenne est mise en place sur 10 km de part et d'autre du chemin avec pour but le recensement des actions écologique, économique locale et citoyenne présentes à proximité. C'est le véritable reflet de la vie du massif et de ses valeurs où histoire, convivialité, nature s'expriment franchement.

Cet itinéraire passe par Saint-Haon le Vieux (voir photo)*

Quelques notes de deux pélerins :

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1er juillet 2018 : ST-JODARD-ROANNE 28 km ; température caniculaire.

2 juillet 2018 : ROANNE-AMBIERLE 24 km ; étape facile, malgré la chaleur.

3 juillet 2018 : AMBIERLE-CHATEL MONTAGNE : une très belle étape dans la forêt.

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Voici le texte extrait du livre de Frédéric Noëlas publié en 1973 par les Editions Horvath de Roanne :

"Les pierres Saint-Martin qui sont dans nos montagnes forment un rocher marqué d'empreintes remarquables. Au milieu d'une foule de petits bassins peu profonds et assez régulièrement taillés, est un enfoncement qui semble produit par le corps d'un homme couché sur le dos, la tête renversée et les jambes repliées, comme une victime que l'on aurait saignée au cou et aux artères des cuisses. Tout à côté, une autre cavité semble moulée sur un enfant : on en voit la tête et le buste ; mais il faut de la bonne volonté pour distinguer les autres objets entaillés dans la pierre. Quoiqu'il nous semble douteux que ce soit bien là l'ouvrage des hommes, on ne peut qu'être étonné à la vue de semblables indices ; on est tenté de penser à la religion sanguinaire des Gaulois".

Je suis surprise de la différence de textes cités en référence !